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France urbaine a dénoncé un plan de relance (très) timide. Si les 120 M€ annoncés sur 2 ans « démontre que le sport n’a pas été évincé du plan de relance il n’en ressort pas pour autant renforcé, au regard de la timidité des moyens mobilisés. « Dans un récent courrier, France urbaine avait interpellé le Premier ministre - ancien président de l’Agence nationale du sport (ANS) - afin que des fonds dédiés au sport puissent être massivement mobilisés.
Selon le communique de presse, « la mobilisation financière de l’Etat en matière de sport est faible et présage pour l’avenir un portage encore plus conséquent des collectivités territoriales et principalement du bloc local en dépenses d’investissement et de fonctionnement. »
France Urbaine rappelle que les grandes villes, communautés et métropoles ont été très nombreuses à décider durant la crise sanitaire des reports de charges, des maintiens de subventions « sur service non fait » ou des dotations de subventions exceptionnelles pour les associations sportives.