
Même si nous ne perdons pas de licenciés, notre modèle économique a été sévèrement menacé par l’arrêt des emplois aidés », lance d’emblée Alain Pennec, président du SAR Tennis de Rochefort (Charente-Maritime). Ce club aux 410 licenciés – contre 375 en 2017 – emploie sept personnes. « Il nous faut trouver d’autres sources de recettes et le padel en est potentiellement une ». Également président de la commission régionale et fédérale des jeunes à la Ligue Aquitaine, il affirme « avoir bien senti l’émergence de cette discipline et l’opportunité de se positionner sur ce créneau ». Sans compter qu’il observait de plus en plus de ses licenciés parcourir la[…]
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