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Les affinitaires et le Comité olympique, les nouvelles pratiques, la concurrence du privé... Entretien avec Laurence Munoz, maître de conférences à l’Université du littoral Côte d’Opale, vice-présidente de la Fédération sportive et culturelle de France...
Est-ce un frein ou une chance pour les affinitaires d’être rattachés au Comité olympique ?
C’est encore une chance. Tous les membres se rejoignent sur un point essentiel selon lequel le sport doit se pratiquer dans un club car celui-ci est structurant sur le plan social, éducatif, etc. Seulement, le comité olympique peine à représenter les affinitaires. Du fait du rattachement au CIO, les fédérations olympiques ont plus de la moitié des voix, dans un contexte où nous constatons qu’il est compliqué d’intégrer la nouveauté dans ces rouages. Je fais référence aux évolutions des pratiques. Mais il faut savoir que si elles ne sont pas intégrées, elles se feront quand même. Dans le secteur privé par[…]
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