
Lire l'acte 1
Dans ma vision, la politique publique du sport était discutée au sein de l’agence. Une convention d’objectifs et de moyens était discutée entre l’Etat et l’agence, mais l’agence outils de cette nouvelle gouvernance n’était pas le bras armé du gouvernement s’imposant à tous les acteurs comme paraît le suggérer le Conseil d’Etat. En tant qu’opérateur de l’Etat, il devait avoir la charge de la qualité de la concertation stratégique, le dernier mot en matière de haute performance, et en matière de développement la responsabilité de l’affirmation de ses propres objectifs quitte à ce qu’ils ne soient pas en cohérence avec ceux des autres acteurs.
Reste à savoir ce que ces acteurs pensent de cette posture et de sa compatibilité avec les principes à valeur constitutionnelle de libre administration des collectivités locales, de liberté de l’initiative associative, et de liberté d’entreprendre…